Player FM - Internet Radio Done Right
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РЕКЛАМА
“If we march into that village and we start trying to persecute people for using poison, something that's very illegal, nobody's going to talk to us. We're not going to find out where the poison came from. We're not going to be able to shut anything down. We should take the approach that people are using poison because they're desperate, because they see no other alternative.” – Andrew Stein Andrew Stein is a wildlife ecologist who spent the past 25 years studying human carnivore conflict from African wild dogs and lions in Kenya and Botswana to leopards and hyenas in Namibia. His work has long focused on finding ways for people and predators to coexist. He is the founder of CLAWS , an organization based in Botswana that's working at the intersection of cutting-edge wildlife research and community driven conservation. Since its start in 2014 and official launch as an NGO in 2020, CLAWS has been pioneering science-based, tech-forward strategies to reduce conflict between people and carnivores. By collaborating closely with local communities, especially traditional cattle herders, CLAWS supports both species conservation and rural livelihoods—making coexistence not just possible, but sustainable.…
L'Europe après le 5 novembre
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Chaque semaine sur euradio, retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels.
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1 Qu’est-ce qui est le plus déterminant ? Les fragilités de l’Union ou la dynamique d’affirmation qui la porte ? 3:49
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

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1 Après la mort de Nasrallah, Netanyahou saura-t-il transformer cette victoire en une paix durable ? 4:37
Aujourd'hui, Bernard Guetta se questionne sur la pérennité de la guerre menée par Netanyahou.
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Parce qu’elle n’admet pas qu’Emmanuel Macron ait été chercher un Premier ministre dans les rangs de la droite plutôt que dans les siens, la gauche s’apprête à commettre une profonde erreur. Non seulement la censure qu’elle entend opposer à Michel Barnier ne le fera pas tomber puisque la gauche n’est pas majoritaire mais elle achèvera, ce faisant, de faire de l’extrême-droite un acteur à part entière de la vie politique.…
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Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Il n’y a qu’un seul danger et pas deux. Le seul et unique danger qui menace aujourd’hui la France et l’Union européenne à travers elle, c’est le lepénisme, ce Rassemblement national qui pourrait réunir dimanche prochain, au premier tour des législatives anticipées, quelque 35% des voix, soit assez pour pouvoir l’emporter au second tour, le 7 juillet. A droite, au centre et à gauche, beaucoup de Français ne seront pas d’accord. Mais que dire alors, protesteront-ils, de ce nouveau Front populaire, de cette alliance des gauches dont l’un des partis flirte si souvent avec l’antisémitisme, le décolonialisme et la haine de l’Occident et dont le programme économique se fonde sur l’idée qu’il suffirait de prendre aux riches pour assurer le bonheur universel ? ...…
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Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. J’en suis à me dire que ce pari n’était peut-être pas si fou. Je le dis prudemment, sans totalement y croire car, depuis l’annonce de la dissolution, je suis passé par tous les stades. J’ai d’abord pensé et publiquement dit, à chaud, qu’il fallait en effet, oui, absolument, demander au pays si ces quelque 40% de suffrages accordés aux extrêmes-droites n’exprimaient qu’une colère ou signifiaient une vraie volonté de porter les lepénistes au pouvoir. J’étais convaincu qu’il fallait passer par ce moment de vérité car il était à mes yeux impossible que 4 Français sur 10 aient basculé à l’extrême-droite mais le lendemain, lundi matin… Quelle gueule de bois ! Pas une chaîne de radio, pas un journal télévisé, qui ne débattît déjà des conditions dans lesquelles le Rassemblement national allait pouvoir gouverner et des raisons qui avaient bien pu pousser le président à commettre une telle folie. Je les voyais déjà, ces menteurs professionnels, ces démagogues, ces dangers publics, entrer dans les ministères et si vite annoncer qu’ils revenaient sur leurs promesses, réduisaient les aides sociales, taillaient dans le budget européen et bloquaient l’aide à l’Ukraine. ...…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Oui, bien sûr, ces résultats sont presque partout accablants, et surtout en France. Avec des extrêmes-droites dont l’addition atteint quelque 40% des suffrages exprimés, la France sort bien évidemment affaiblie de ces élections européennes et pourrait bientôt l’être encore plus, tragiquement plus, si les élections anticipées auxquelles Emmanuel Macron a décidé d’appeler dimanche donnaient, dans moins d’un mois, le pouvoir aux lepénistes. Cette dissolution est un pari plus que risqué mais, outre qu’il n’y avait guère d’autres options, ce qui est maintenant fait ne peut être défait. L’heure tourne et plutôt que de perdre son temps à débattre de la pertinence de ce choix, il s’agit maintenant de ne pas laisser gagner le parti qui voulait hier sortir de l’euro, demandait l’onction de MM. Trump et Poutine et applaudissait le Brexit en qualifiant l’Union européenne de « prison des peuples ». Si Marine Le Pen et son protégé avaient été élus en 2017, les 27 pays de l’Union n’auraient pu ni faire face à la pandémie, ni emprunter pour relancer nos économies, ni soutenir l’Ukraine contre son agresseur.…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Les scènes politiques européennes vont s’américaniser. C’est inéluctable et désormais souhaitable car, quel que soit le bilan précis de la bataille des européennes, les extrêmes-droites vont devenir incontournables au Parlement. Elles n’y seront pas majoritaires mais, à Strasbourg comme dans toute l’Europe, elles vont maintenant peser aussi lourd que dans les années trente et tenter d’unir leurs forces comme les y appellent déjà Viktor Orban et Marine Le Pen. Si elles y parvenaient, elles pourraient constituer le deuxième des groupes politiques derrière les conservateurs du Parti populaire européen mais même en troisième ou quatrième position, elles continueront à s’affirmer en alternative à l’ensemble des forces, gauche et droite, qui avaient dominé l’échiquier européen depuis quelque huit décennies.…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. On ne l’a pas assez relevé mais que vient de déclarer ce Triangle de Weimar que le Guardian appelle la « nouvelle locomotive » de l’Union ? Eh bien mercredi dernier, les ministres des Affaires étrangères des trois pays qui le composent, la Pologne, la France et l’Allemagne, ont jugé que l’Union européenne devait devenir un « véritable acteur géopolitique » - ce que la France appelait autrefois l’« Europe puissance ».…
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. La première hypothèse est qu’il veut prendre Kharkiv. Il s’en rapproche si méthodiquement, un bourg après l’autre, qu’on ne peut pas exclure que ce soit là l’objectif de Vladimir Poutine mais peut-être ne ment-il pas lorsqu’il affirme que non.…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Pour savoir ce qu’est un antisémite, encore faudrait-il savoir ce qu’est l’antisémitisme. Pour savoir ce qu’est un antisioniste, encore faudrait-il savoir ce qu’est un sioniste.…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. On attend vos réponses, M. Bardella. Parlez, car les sondages vous donnent si largement en tête aux élections européennes et votre parti ambitionne tant de revenir sur l’unité européenne en remportant la prochaine présidentielle que vous devez répondre aux questions que pose le bouleversement du monde.…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Hier unis pour arrêter les frappes iraniennes contre Israël, les pays arabes, l'Europe et les Etats-Unis doivent maintenant imposer aux Israéliens et aux Palestiniens de marcher vers la paix. Tout le leur commande car tous ont un intérêt vital à le faire.…
Chaque semaine sur euradio , retrouvez la chronique de Bernard Guetta, député européen, qui effectue un retour sur les actualités et événements européens actuels. Israël n’a plus de raisons de ne pas oser la paix. Face à un régime iranien rejeté par sa propre population, allié de Vladimir Poutine et si proche de se doter de la bombe, Israël n’a pas remporté une mais quatre victoires d’un coup.…
Il peut mentir tant qu’il veut, pointer le doigt vers l’Ukraine et la faire accuser par ses deuxièmes couteaux, cet homme a failli. Tout occupés à envahir l’Ukraine et à emprisonner et assassiner leurs opposants, Vladimir Poutine et son régime n’ont pas été capables de voir venir la tuerie que l’Etat islamique préparait à Moscou. Dans bien d’autres pays, dira-t-on, d’autres appareils de sécurité se sont laissé surprendre par d’autres massacres tout aussi épouvantables. Oui, c’est vrai mais il se trouve que les Etats-Unis avaient averti les autorités russes que quelque chose se tramait, que l’ambassade américaine avait mis en garde ses ressortissants contre toute participation à des événements de masse et que Vladimir Poutine n’avait su voir là qu’une « provocation » d’un pays coupable de défendre les Ukrainiens.…
Trois mots ont suffi. En lançant que « rien n’était exclu » pour empêcher Poutine de l’emporter en Ukraine, Emmanuel Macron a su faire entendre que nous étions bel et bien en guerre puisque l’autocrate russe nous l’avait déclarée, qu’une défaite de l’Ukraine mettrait toute l’Union en danger, que nous pourrions avoir à nous battre sans les Etats-Unis si Trump était élu en novembre et que le seul moyen de ne pas avoir à envoyer un jour nos enfants sur un champ de bataille était d’immédiatement fournir assez d’armes aux Ukrainiens pour repousser l’agression. Sur les plateaux de télévision comme au resto du coin, on ne parle plus que de cela. Les uns approuvent, d’autres s’indignent, mais un même débat politique, passionné, furieux, fait de l’Union une seule et même scène politique sur laquelle reviennent sans cesse trois questions principales... à lire ici…
On ne comprend d’abord pas. Comment, pourquoi, un chef d’Etat peut-il se faire dénoncer comme « va-t-en guerre » parce qu’il a déclaré que « rien n’était exclu » pour empêcher Vladimir Poutine de l’emporter en Ukraine ..?
C’est le débat caché, le plus grand non-dit du moment, mais partout la question monte. Au-delà des disputes sur le rythme, l’ampleur et la nature de l’aide apportée à l’Ukraine, faut-il ou non souhaiter qu’une défaite de Vladimir Poutine mène à l’éclatement de la Fédération de Russie et de ses 21 Républiques ? « Oui », répondent de plus en plus d’intellectuels, notamment russes, et nombre d’eurodéputés, minoritaires mais actifs, qui appellent désormais à encourager le fractionnement de la Fédération. Ancienne ministre polonaise des Affaires étrangères et figure du parti conservateur PiS, Anna Fotyga, a ainsi réuni à Bruxelles des représentants de mouvement sécessionnistes aujourd’hui totalement marginaux mais pouvant bien faire parler d’eux un jour. Venus des Etats-Unis ou d’Europe, souvent vêtus de costumes nationaux, ils ont fait entendre d’épouvantables récits de répressions anciennes mais aussi d’envoi forcé d’hommes en Ukraine.…
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

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Le courage a un nom. Il s’appelle Navalny. Le courage dont cet homme a fait preuve, ce courage d’aller délibérément sacrifier sa vie pour la donner en exemple à un pays muselé, ce courage d’aller braver la mort en opposant jusqu’au bout, rire, sourires et ironie à ses bourreaux, ce courage d’ouvrir à mains nues de nouvelles routes à l’Histoire en défiant un tyran fauteur de guerre, menteur et assassin, ce courage ne fait pas que forcer l’admiration...…
Arrêtez ! Vous la direction du Hamas et vous Benjamin Netanyahou, arrêtez ce bain de sang, cessez de faire le malheur de vos peuples, car vous en avez le pouvoir. A la tête du Mouvement de la résistance islamique, vous êtes trois ou quatre, pas plus en fait, dont la reddition permettrait à Israël de se dire vainqueur et de mettre fin à ce déluge de bombes. Alors vous avez le choix. Vous pouvez rester bien au chaud, bien nourris, bien cachés dans l’un de vos tunnels ou sauver votre peuple en vous rendant...…
Prenons-en le pari. Ce jour du 1ier février 2024 où les 27 chefs d’Etat et de gouvernements de l’Union ont alloué 50 milliards d’aide à l’Ukraine pourrait bien être retenu par l’Histoire comme celui de la naissance de l’Europe politique. Il le pourrait non seulement car les 27 ont confirmé là leur volonté d’opposer leur unité aux ambitions impériales de Vladimir Poutine mais plus encore parce qu’au même moment les élus trumpistes de la Chambre des représentants continuaient de bloquer l’aide américaine à l’Ukraine. Le 1ier février 2024, tandis que l’Amérique faisait défaut à la solidarité des démocraties, les Européens relevaient le gant et affirmaient leur volonté de défendre seuls la liberté, sans leur protecteur et tuteur de toujours. Oui, c’est cette date-là que l’Histoire pourrait donner à la fin de l’ère du gendarme américain, à l’aboutissement du long processus de recentrage des Etats-Unis sur leur compétition avec la Chine et d’affirmation parallèle de l’Union européenne en acteur de la scène internationale sauf……
On y est. C’est fait, enfin fait. La France, l’Allemagne et l’ensemble de l’Union européenne à l’exception de la Hongrie ont enfin réalisé qu’à laisser Vladimir Poutine l’emporter en Ukraine, les 27 s’exposeraient bientôt à ce qu’il vienne les tester en Estonie ou à la frontière finlandaise, les divise par la peur d’un conflit direct et mette à mal leur unité. Mieux vaut tard que jamais mais où en est-on ? Si Donald Trump est élu en novembre prochain, il s’emploiera vite à défaire l’Alliance atlantique et à s’entendre avec le président russe sur le dos des Européens. C’est la pire des hypothèses mais quand bien même Joe Biden serait-il réélu, les Etats-Unis n’en continueraient pas moins à s’éloigner de l’Europe pour mieux se concentrer sur la Chine.…
Il y a d’embarrassantes vérités. A moins de six mois des élections européennes, alors que l’ensemble des partis des Etats membres s’apprêtent à livrer bataille et à s’affirmer, du même coup, sur leur scène nationale, comment dire qu’ils se trompent d’époque et que les affrontements auxquels ils se préparent sont largement vains et même néfastes ..?…
Derrière l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne et les Pays-Bas, quelle est la sixième puissance économique de l’Union ?
Elles ne seront à nulles autres pareilles. Parce qu’elles auront en toile de fond deux guerres à nos frontières et l’éloignement des Etats-Unis, les élections européennes de juin prochain porteront pour la première fois sur des enjeux immédiats de sécurité commune.
Viktor Orban lui-même le comprend. « L’Europe , vient-il de dire dans une interview au Point , doit être capable de se défendre par ses propres forces ». Il le dit après avoir pourfendu à longueur de colonnes le « centralisme » de l’Union européenne, après avoir appelé de ses vœux au rassemblement des deux courants de l’extrême-droite pour qu’elle puisse peser au Parlement, après avoir, en un mot, dit toute son hostilité à l’Union mais « dans le domaine de la sécurité , constate-t-il, nous devrions être plus centralisés ».…
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

C’est pourtant simple : il y a le feu. Il y a le feu du réchauffement climatique. Il y a celui de l’Ukraine. Il y a celui de Gaza. Il pourrait bien y avoir, dans un an, celui d’un retour de Trump à la Maison-Blanche. A tout instant, l’incendie menace de se généraliser et l’on fait quoi ? Nous faisons quoi, en Europe, nous les Européens ? Sauf à faire l’autruche, tête dans le sable pour ne pas voir les dangers, nous avons à faire face, rangs serrés et solidaires, déterminés à ne laisser personne d’autre que nous décider de notre destin. Ce ne sera pas facile et parfois difficile. Il serait bien plus simple de nous replier sur nos frontières nationales et d’espérer qu’elles nous protègent des flammes mais comme ce ne serait pas le cas, comme nous serions évidemment plus vulnérables désunis qu’unis, nous avons à relever le gant et à commencer par élargir notre Union...…
Il y a, c’est vrai, toutes les raisons d’avoir peur. Il y a dans l’air comme un parfum d’avant-guerre mais en est-on vraiment revenu aux années trente ? Avec l’Ukraine et Gaza en toile de fond, on le serait si les électeurs américains n’avaient pas refusé un second mandat à Donald Trump il y a trois ans, si les Polonais ne venaient pas de chasser du pouvoir une droite réactionnaire, si les Espagnols n’avaient pas préféré reconduire les socialistes que passer les commandes à une droite dure, si Geert Wilders pouvait s’appuyer sur une majorité parlementaire et non pas sur à peine un quart des députés néerlandais ou si Javier Milei avait les moyens d’appliquer son programme de démantèlement de l’Etat argentin dont ni le Parlement ni les régions ne veulent.…
Fichu, vous dis-je. Fini, foutu : Poutine a gagné, entend-on de partout et, si faux qu’il soit, ce grand air de la résignation a tout pour convaincre. Dès lors, explique-t-on, que la contre-offensive ukrainienne a échoué à faire reculer les troupes russes et que cette guerre est ainsi devenue guerre de positions, l’avantage revient à Vladimir Poutine car il dispose de plus d’hommes que l’Ukraine...…
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

On l’a à peine entendu. De l’Ukraine au Proche-Orient, la dégradation de la situation internationale est telle qu’on n’a pratiquement pas remarqué que les 27 avaient amorcé, la semaine dernière, une unification de l’ensemble de l’Europe, du continent européen. Alors, bien sûr, on n’y est pas. La Russie, ce n’est évidemment pas pour demain et la Turquie non plus. Les pays des Balkans occidentaux resteront encore dans l’antichambre pour plusieurs années...…
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

1 Plaidoyer pour le volontarisme : entre israëliens et palestiniens, la seule certitude est que rien ne changera si l’on ne tente rien 4:50
La bataille de Stalingrad avait fait deux millions de victimes. Était-ce pour autant un génocide ? Evidemment pas puisqu’un génocide est l’élimination délibérée d’un groupe national, ethnique ou religieux, d’un peuple entier, et non pas un bain de sang plus atroce ou d’une plus grande ampleur que d’autres. Il y eut ainsi trois génocides au XX° siècle, ceux des Arméniens, des Juifs et des Tutsis, avec lesquels ne se comparent ni les tueries du 7 novembre ni le bombardement et le siège de Gaza...…
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1 Guerre Israël-Hamas : La paix bénéficie paradoxalement d’une rare fenêtre d’opportunité, grand ouverte à Mohammed Ben Salman 5:04
Ce n’est qu’une hypothèse que la morosité ambiante dira folle, absurde et totalement irréaliste, mais imaginons tout de même. Imaginons qu’après de discrètes consultations avec les Etats-Unis et l’Union européenne ou certains de ses membres, le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salman, dit « MBS », relance l’initiative de paix arabe amorcée en 2002 par le prédécesseur de son père.…
Avec deux mondes face-à-face, cela ressemble à la Guerre froide mais c’est bien plus inquiétant qu’elle ne le fut. D’un côté l’Europe, les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande, l’Australie, la Corée du Sud et le Japon, d’un côté les Démocraties et de l’autre la Chine, la Russie et des pans entiers de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine – toute cette partie du monde (le « Sud global », dit-on si faussement) qui voit le temps venu de prendre une revanche historique en précipitant la fin de cinq siècles d’hégémonie occidentale...…
C’est un immense pour la Pologne, l’Europe et le monde,. Avec cette si nette victoire de l’opposition, les Polonais échappent au constant rétrécissement de l’Etat de droit, de la liberté de la presse et des droits des femmes que leur avait imposé la majorité sortante. L’Union européenne, pour sa part, voit s’éloigner les dangers que l’affirmation d’une coalition hungaro-polono-slovaque aurait constitué pour son fonctionnement, ses prises de décision et la clarté de son soutien à l’Ukraine.…
Les uns disent déjà qu’Israël paie là le prix de la colonisation. C’est l’injustice croissante dans laquelle vivent les Palestiniens, expliquent-ils, qui a suscité cette tuerie de masse car un tel déchaînement de haine n’aurait pas été possible si tout espoir de paix n’était pas mort. Retour sur l'actualité avec Bernard Guetta.…
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

Connaissez-vous un poutiniste, un seul ? Non, bien sûr. Il y a des gens auxquels il ressemble, comme Xi Jinping. Il en est d’autres qui s’inspirent de lui, comme Viktor Orban. D’autres encore, comme Lula, se félicitent d’échapper grâce à lui à un tête-à-tête avec la puissance américaine. Cela fait nombre d’alliés et de semblables mais pas foule et c’est la grande différence avec l’URSS.…
On ne sait pas. On ne sait ni ce que Vladimir Poutine a pu offrir à Evgueni Prigojine pour le convaincre d’interrompre sa marche sur Moscou ni ce que sont les garanties de sécurité que ce putschiste a su obtenir pour lui-même et ses hommes. On sait en revanche ce qui ne s’est pas passé dans cette journée du 24 juin et c’est là qu’est l’essentiel, dans l’addition d’anomalies qui disent l’affaiblissement du président russe. Face, d’abord, à des mutins venus s’emparer de leur quartier-général, les généraux et officiers russes de ce centre de commandement qu’est Rostov auraient normalement dû opposer une résistance acharnée. Ils ne l’ont pas fait et cet empressement à ne pas combattre trahissait un refus de mourir pour un président dont l’aura s’est perdue, voire même l’espoir que son règne s’achève. ... la suite de cet édito est à lire ici !…
Si l’on remplace « France » par « Europe », Michel Rocard avait déjà tout dit. « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde », avait déclaré le Premier ministre de François Mitterrand il y a quelque trente ans, « mais elle doit en prendre fidèlement sa part », avait-il ajouté dans le même souffle. C’est à la fidélité aux valeurs européennes de compassion et de protection des persécutés qu’il se référait car les traités que nous avons signés, la charité chrétienne et le simple humanisme nous interdisent de rejeter à la mer ceux qui fuient la guerre, la misère ou les persécutions. Ces valeurs sont sacrées mais elles ne sauraient aucunement signifier que l’Union européenne doive ouvrir ses portes à tous ceux qui vivent plus mal ou même beaucoup plus mal que nous. ... la suite de cet édito est à lire ici !…
Le contraste est frappant. À la fin du siècle dernier, il avait fallu que les États-Unis prennent les choses en mains pour que les armes se taisent dans l’ex-Yougoslavie alors qu’aujourd’hui, face au nouvel incendie menaçant le Kosovo, les pompiers sont européens. Le président français et le chancelier allemand ont réuni jeudi les dirigeants serbe et kosovar pour leur dire que l’Union ne tolérerait pas l’ouverture d’un second front sur le continent. Aux autorités albanaises du Kosovo, ils ont dit qu’il fallait organiser de nouvelles élections dans les villes du nord à majorité serbe. À la Serbie comme aux Serbes du Kosovo, ils ont dit qu’il n’était plus question de boycotter ces élections mais d’y assurer une forte participation et d’aller ainsi vers une reconnaissance de l’indépendance de ce territoire. ... la suite de l'édito est à lire ici !…
Selon Bernard Guetta, à l’intérieur comme dans la diaspora, ils tâtonnent et se cherchent. Autant dire que les opposants russes sont encore loin de former une seule et même opposition..
Ils auraient toutes les raisons de soutenir l’Ukraine. Les pays d’Amérique latine devraient se souvenir qu’ils ont eux aussi un puissant voisin qui les a longtemps considérés comme son « arrière-cour » et n’a pas totalement perdu l’envie de leur imposer une suzeraineté. Les pays africains ne devraient pas ignorer, pour leur part, que la tentative d’annexion de l’Ukraine par M. Poutine est aussi anachronique et folle que si la France se mettait en tête de reconquérir l’Algérie ou la Grande-Bretagne de remettre la main sur le Nigéria. L’Ukraine est un État qu’un empire défait voudrait replacer sous tutelle mais ces pays qu’on range aujourd’hui dans le fourre-tout du « Sud global » sont pourtant loin d’être unanimes à condamner l’agression dont elle est victime. Ils ne l’approuvent pas non plus mais rares sont ceux qui se sont associés aux sanctions économiques prises contre Moscou. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Lorsqu’ils concernent l’avenir, les sondages ne sont pas plus fiables que les prédictions. Universelle, c’est la première conclusion à tirer des élections turques et les deux autres ne le sont pas moins car, normalement, l’hyperinflation, l’étouffement des libertés et le boom de la corruption auraient dû infliger la plus humiliante des défaites à Recep Erdogan et à son parti. Or s’il n’en a rien été, si une moitié de la Turquie leur restent malgré tout fidèles, c’est que les élections ne se jouent plus d’abord sur l’économie. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
On se refuse à y croire. On ne veut pas même l’envisager mais tout porte à croire que Vladimir Poutine n’est plus maître chez lui. Président, il l’est toujours, en titre en tout cas, mais est-ce qu’un chef d’Etat aux commandes pourrait réellement laisser insulter sans réagir un ministre de la Défense dont il est notoirement si proche et le chef d’état-major auquel il a personnellement confié la conduite des opérations ukrainiennes ? La réponse est clairement « non ». Vladimir Poutine se déjuge en ne se démarquant même pas, fut-ce par son porte-parole, de la manière dont Evgueni Prigojine vient de traiter Sergueï Choïgou et Valeri Guerassimov de « salopards » parce qu’ils ne lui livreraient pas ces « putains de munitions » qui lui manqueraient à Bakhmout. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Le 14 mai prochain, Recep Erdogan pourrait avoir perdu la présidentielle turque. Cela n’a rien d’une certitude mais son éviction est tout aussi envisageable que celle de Vladimir Poutine si les forces ukrainiennes marquaient demain de vrais points. Peut-être sommes-nous ainsi à la veille de grands bouleversements mais s’y prépare-t-on assez et le mesure-t-on même ? La réponse est « non », deux fois « non », car la Turquie sans Erdogan ou la Russie sans Poutine seraient de telles pages blanches que ces seules hypothèses donnent le vertige. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Un jour, nous aurons tous besoin d’eux. Le jour où l’échec de l’agression contre l’Ukraine ouvrira la question d’une relève au Kremlin, Alexeï Navalny et Vladimir Kara-Mourza seront aussi indispensables à la Russie, à l’Europe et au monde que Nelson Mandela l’avait été à son pays lorsque l’apartheid y a pris fin. Ils seront essentiels car tant des hommes qui auraient pu incarner la Russie post-poutinienne ont été assassinés ou broyés qu’il ne reste qu’eux. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Il aurait fallu des caméras, des micros, un réalisateur. Il aurait fallu que la crainte des provocations et manipulations n’empêche pas ces quelque 200 journalistes russes réunis à l’étranger de débattre en plein jour car c’est une autre Russie, la vraie, que le monde aurait alors pu voir. Tous étaient nés ou arrivés à l’âge adulte après le communisme, sous la pérestroïka ou dans les années Eltsine. Comme tous les Russes de moins de 40 ans, ils avaient grandi dans les débats, la confrontation d’idées, la libre expression et, pour eux, les temps présents n’ont ainsi rien d’une continuité mais tout d’une totale et sinistre nouveauté. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Le temps est venu. Cela ne s’est jamais fait mais, outre que le poste se libère en septembre, il y aurait aujourd’hui trois raisons de souhaiter qu’un Français devienne secrétaire général de l’Otan. La première est qu’à l’heure où Américains et Européens apportent à l’Ukraine, toutes aides confondues, des soutiens d’une ampleur comparable, il serait pleinement justifié que ce soit la seule vraie puissance militaire de l’Union et le seul de ses Etats siégeant au Conseil de sécurité qui prenne les commandes de l’Alliance atlantique. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Pour ce qui est de l’Alliance atlantique, on sait. En envahissant l’Ukraine, Vladimir Poutine a réussi la prouesse de rallier la Suède et la Finlande à l’Otan et d’y faire un jour adhérer l’Ukraine mais qu’en est-il de son autre adversaire, de cette Union européenne qu’il méprisait tant et dont il entendait démontrer la faiblesse et la désunir ? Eh bien l’Union, le président russe réalise le miracle d’en faire une union politique et il suffit pour s’en convaincre de lire le discours que le Premier ministre polonais vient de prononcer à l’Université d’Heidelberg. Que les choses soient claires. Ce n’est pas seulement que, grâce à Vladimir Poutine, l’Union soit partie pour progressivement s’élargir à l’Ukraine, à la Moldavie, aux Balkans occidentaux et sans doute aussi à la Géorgie. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Beaucoup n’y prêtent guère attention. Beaucoup ne voient là qu’un non-événement puisque Vladimir Poutine n’en sera ni envoyé à La Haye ni même destitué mais, en émettant un mandat d’arrêt contre lui, la Cour pénale internationale a fait date. C’est du jamais vu car c’est la première fois que le président en exercice d’une aussi grande puissance risque l’arrestation immédiate dans les 123 pays ayant ratifié le statut de la Cour. ...la suite de cet édito est à lire ici !…
Où est le plus important ? Est-ce que deux adversaires aussi irréconciliables que l’Iran et l’Arabie saoudite aient annoncé, vendredi 10 mars, le rétablissement de leurs relations diplomatiques sous deux mois ? Ou bien est-ce qu’ils l’aient fait de Beijing et grâce à l’entremise de la Chine ?
Cela ne s’est vu dans aucune des démocraties basculant dans la dictature ou menaçant de le faire. Pas plus en Hongrie qu’en Pologne ou que dans les Etats-Unis de Donald Trump, on n’a vu de telles foules descendre dans les rues pour défendre la liberté.
Et s’ils avaient raison ? Et si ce n’était pas que le besoin d’y croire qui faisait dire aux dirigeants ukrainiens que c’est dès cette année que leur pays l’emportera ?
L
L'humeur européenne de Bernard Guetta

Elle y trouverait trois avantages. Si le plan de paix qu’elle entend présenter en fin de semaine ouvrait réellement une perspective de règlement en Ukraine, la Chine éviterait un ralentissement brutal des échanges internationaux dont son économie et sa stabilité politique pâtiraient gravement. Pour elle, l’enjeu est vital mais ce n’est pas tout.…
Selon Bernard Guetta, nous autres, Européens, sommes trop lents à répondre aux demandes d’aide de Wolodymyr Zelensky mais avons-nous, pour autant, nous autres Français, tant de raisons de nous auto-flageller à ce point ?
Seul le court terme est clair. Sous peu de semaines et d’ici Pâques au plus tard, l’armée russe devrait tenter d’offrir à Vladimir Poutine le contrôle des régions ukrainiennes dont il avait si prématurément annoncé l’annexion il y a plus de quatre mois déjà. Pour le Kremlin il y a urgence car les chars européens entreront en scène à compter de la fin mars et que plus il en arrivera, plus il sera difficile aux troupes du général Guerassimov d’opérer d’avancées significatives.…
Memphis vient de tragiquement confirmer la prévalence d’une violence arbitraire et systémique dans la police américaine. Cette semaine, Bernard Guetta revient sur le drame qui a touché Memphis.
L
L'humeur européenne de Bernard Guetta

Cette semaine, Bernard Guetta revient sur les propos de Philippe Lellouche, en se questionnant "Où en seraient les 27 États de l’Union et l’ensemble des Démocraties si le renseignement américain et les premières livraisons d’armes européennes, improvisées mais immédiates et décisives, n’avaient pas empêché Vladimir Poutine de prendre Kiev ?"…
Dans cet épisode, Bernard Guetta revient sur la popularité soudaine de l'Union européenne grâce au Brexit.
Dans cet épisode, Bernard Guette nous parle des quatre grands despotes menacés à l'aube de 2023.
Tant d’inconnues s’additionnent que l’année prochaine est imprévisible. Y aura-t-il un Brutus pour changer la donne à Moscou ? Une défaite de Recep Erdogan aux élections de juin pourrait-elle ouvrir une nouvelle ère au Proche-Orient et dans toute la Méditerranée ? Les Iraniens auront-ils raison de leur théocratie dont l’appui manquerait alors à Vladimir Poutine comme à Bachar el-Assad ? L’inflation pourrait-elle s’emballer en Europe et y provoquer assez de troubles sociaux pour que les États de l’Union en soient affaiblis ?…
La liberté mène 3-0 contre les dictatures et comment ne pas s’en réjouir ? Comment ne pas penser aux Iraniens, aux Ukrainiens, aux Chinois, aux Russes eux-mêmes et à tant d’autres victimes de tant d’autres satrapes qui se réjouissaient déjà de voir leur ami Poutine faire reculer la démocratie ?
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

"Pour le salut de l’Ukraine, de la Russie et du monde, le président russe et son régime doivent perdre cette guerre au plus vite mais alors même que ce constat n’est guère discutable, les conclusions n’en sont pas tirées" - Bernard Guetta
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L'humeur européenne de Bernard Guetta

La Russie est en récession tandis que le rouble recommence à dévisser mais aucun de ceux qui expliquaient avec tant de certitude que les sanctions ne frappaient que ceux qui les imposaient n’aura pour autant reconnu s’être trompé.
Bernard Guetta pense qu'il n’est nullement exclu que novembre 2022 entre dans l’Histoire comme le mois de la liberté qui aurait vu l’Iran amorcer la chute de sa théocratie après que les Ukrainiens eurent repris Kherson et que les électeurs américains eurent fait de Trump un loser.
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